Éducation

Liste des films en décembre

Journée mondiale de la conservation de la faune

Le 4 décembre marque la Journée mondiale de la conservation de la faune, attirant l’attention et en sensibilisation le public sur la faune et la flore menacées par le braconnage, la contrebande et la crise climatique. Faites preuve de bienveillance à l’égard de notre environnement et des animaux avec lesquels nous le partageons grâce à ces documentaires canadiens qui incitent à la réflexion.

Revolution

(85 Min)

Dans la suite captivante de son documentaire acclamé Sharkwater, Rob Stewart découvre que les requins ne sont pas les seuls en danger – les changements climatiques sont autant dévastateurs pour la vie humaine. Des paysages vibrants et impressionnants sont juxtaposés avec des preuves surprenantes des dommages significatifs qui ont déjà été causés. Par la même occasion, Stewart trouve un immense espoir au cœur d’une jeunesse passionnée et dévouée dont les efforts sont en train de changer notre futur pour le mieux.

Sea of Life

(88 Min)

Inspirée par le cinéaste Rob Stewart, Julia Barnes a décidé, à 16 ans seulement, de suivre son exemple et de réaliser ses propres films comme vecteurs de son action environnementale. En parcourant le monde pour étudier les problèmes qui menacent les écosystèmes océaniques, Barnes se questionne sur la façon dont les actions des gouvernements, des entreprises et des personnes ordinaires peuvent impacter significativement le développement durable.

Le point culminant survient lors des manifestations qui ont entouré l'accord de Paris sur le climat, un rendez-vous important qui s’est finalement révélé peu efficace. Son documentaire pointe vers l’avenir en estimant qu'un traitement respectueux des océans pourrait permettre que notre planète reste belle et habitable pour les prochaines générations.

Sharkwater (Les seigneurs de la mer)

(89 Min)

Fasciné par les requins depuis l’enfance, le réalisateur Rob Stewart a entrepris de dissiper le mythe selon lequel les requins seraient des monstres sans merci et assoiffés de sang qui arpentent les mers à la recherche d’un bon festin de nageurs.

Avec ses images splendides tournées en vidéo haute définition, Les seigneurs de la mer nous entraîne dans des océans envahis par les requins, montrant non seulement la vraie nature des requins eux-mêmes, mais également la manière dont l’ingérence de l’homme a transformé ce noble prédateur en proie. Stewart fait équipe avec un groupe d’activistes en environnement téméraires et s’engage dans une palpitante aventure pour combattre les braconniers qui chassent le requin partout autour du globe. Son incroyable épopée vous fera voir les requins sous un tout nouveau jour.

Sharkwater Extinction

(88 Min)

Le dernier film de Rob Stewart livre un autre message urgent au sujet de la protection des requins, à l’heure où la survie de ce prédateur incompris est de nouveau menacée. Si la pratique inhumaine de la chasse aux ailerons est bannie dans le monde entier, Stewart pousse plus loin son enquête pour découvrir les pirates qui continuent à chasser le requin en exploitant un vide législatif. Aussi magnifiquement tourné et captivant que ses films précédents, Sharkwater Extinction est un appel à l’action pressant face au déclin constant de la population mondiale de requins que l’on tue encore par millions chaque année.

Avec Sharkwater Extinction, le dernier film qu’il a tourné avant sa mort tragique en 2017, Rob Stewart nous laisse un héritage durable de son activisme et de son courage.

The Whale

(85 Min)

Ce touchant documentaire raconte, narré par Ryan Reynolds, l'histoire de Luna, un jeune épaulard qui se retrouve séparé de sa famille sur la côte ouest accidentée de l'île de Vancouver, en Colombie-Britannique. Turbulent et aussi surprenant qu'un extraterrestre, Luna gagne l'affection de la communauté par sa détermination à établir un contact avec elle, ce qui aura plusieurs conséquences inattendues.

The Whale nous montre comment la communauté essaie de composer avec la présence de Luna, puisque les épaulards qui sont séparés de leur troupeau survivent rarement dans la nature. Suscitant plus de questions qu'il ne trouve de réponses, ce film est une exploration tout à fait captivante de notre relation avec les animaux.

Journée internationale des droits de la personne

Pour la Journée internationale des droits de l’homme, nous avons une liste de films formidables et diversifiés pour engager votre classe dans un dialogue sur les inégalités, l’exclusion et la discrimination, ainsi que la lutte pour une société plus juste et plus égalitaire.

Antigone

(109 Min)

Première de classe, Antigone (Ricci) est dans sa dernière année d'école secondaire lorsque deux événements déboussolent toute sa vie: un de ses frères est tué par un policier, l’autre est détenu par la police. Ayant vécu à Montréal depuis son immigration au Canada avec sa famille il y a plus d’une décennie, elle fait maintenant face à un choix très difficile. Si elle décide d’aider son frère emprisonné, elle risque de compromettre son habitation au Canada en plus de menacer son avenir prometteur. Quand son histoire attire l’attention des médias, Antigone devient un symbole pour la liberté et la justice pendant qu’elle doit prendre une décision qui changera sa vie pour toujours. 

Inspirée par une tragédie d’il y a plus de 2000 ans, Antigone raconte une histoire qui demeure importante et seyante. Ce fut la soumission canadienne officielle pour le film long-métrage international aux Oscars en 2019.

Beans

(92 Min)

Beans se déroule au plus fort de la résistance Mohawk de 1990 à Kanehsatà:ke (également connue sous le nom de crise d’Oka), une confrontation de 78 jours entre des manifestants Autochtones, la police du Québec, la GRC et l’armée canadienne, pour lutter contre le projet d’expansion d’un développement sur des terres non cédées.

Ces événements forcent Tekehentahkhwa (surnommée « Beans », jouée par Kiawentiio), âgée de 12 ans, à devenir adulte avant l’heure, et forçant son innocence à virer à la en colère face au traitement réservé à son peuple. S’inspirant de sa propre expérience d’enfant, la réalisatrice Tracey Deer propose une chronique poignante et captivante de ces événements réels qui ont secoué la nation, ainsi qu’un regard nécessaire sur l’impact de ces événements traumatisants sur les jeunes de la communauté.

La première de Beans a eu lieu au Festival international du film de Toronto en 2020 et a remporté le Canadian Screen Award du meilleur film.

Note sur le contenu: Ce film comporte des propos grossiers, de la violence et des éléments dont le thème peut ne pas convenir à tous les publics.

Birth of a Family (Naissance d’une famille)

(79 Min)

Dans ce documentaire profondément touchant, trois sœurs et un frère se rencontrent pour la première fois après avoir été enlevés très jeunes à leur mère dénée et élevés dans des familles distinctes disséminées en Amérique du Nord.

Betty Ann, Esther, Rosalie et Ben font partie des quelque 20 000 enfants autochtones qui ont été retirés de leurs foyers entre 1955 et 1985 pour être pris en charge par le système de protection de la jeunesse dans le cadre de la « rafle des années soixante », une politique qui s’inscrivait dans la même tentative d’assimilation forcée que les pensionnats autochtones.

Pendant plusieurs décennies, Betty Ann a travaillé sans relâche pour retrouver sa fratrie, dont les membres avaient eu des parcours très différents. Aujourd’hui, ils sont réunis pour la première fois, habités par la tristesse, mais réconfortés par la joie de connaître enfin leur véritable histoire.

The Breadwinner (Parvana: une enfance en Afghanistan)

(94 Min)

Nous sommes en 2001. Parvana (Saara Chaudry) est une jeune Afghane de 11 ans qui vit sous le régime des talibans. Lorsque son père est injustement emprisonné, Parvana se coupe les cheveux et s’habille en garçon pour pouvoir travailler et faire vivre sa famille. Travaillant aux côtés de son amie Shauzia, Parvana découvre un nouveau monde de liberté et de danger.

Faisant preuve de courage et d’imagination, Parvana puise sa force dans les histoires fantastiques qu’elle invente, et la mission qu’elle s’est donnée de retrouver son père et de réunir sa famille. Parvana est un conte animé aussi beau qu’inspirant sur le pouvoir qu’ont les histoires d’entretenir l’espoir et de nous aider à surmonter les épreuves de la vie.

Le film a été mis en nomination pour 38 prix internationaux, dont six prix Écrans canadiens et l’Oscar du Meilleur long métrage d’animation.

Breakaway

(101 Min)

Rajveer Singh (Virmani) peine à trouver l’équilibre entre les désirs de sa famille traditionnelle sikhe et sa propre passion pour le hockey. Raj et ses amis jouent seulement pour le plaisir, freinés par les préjugés et les moqueries des autres équipes lorsqu’elles voient ces joueurs vêtus de turbans sur la glace. Mais lorsqu’arrive l’entraîneur Dan Winters (Lowe), rapidement, l’équipe de Singh participe à un vrai tournoi, et Raj tombe amoureux de la sœur de l’entraîneur, Melissa (Belle).

Histoire interculturelle sur la découverte de soi, Breakaway est une comédie réconfortante, pleine d’action, apportant une touche de Bollywood au sport préféré des Canadiens. Avec des seconds rôles assurés par une distribution hilarante, incluant l’humoriste et acteur Russell Peters, Breakaway vous fera acclamer ses héros improbables.

Continuous Journey

(87 Min)

En 1914, le SS Komagata Maru entreprend un voyage pour transporter des immigrants indiens vers le Canada. Le 23 mai de cette même année, il arrive à Vancouver avec 376 passagers sikhs, musulmans et hindous à son bord. Beaucoup de ces hommes sont des vétérans de l'armée indienne britannique qui se croient investis du droit, en tant que sujets britanniques, de s'installer n'importe où dans l'empire qu'ils ont défendu et contribué à bâtir. Ils ont malheureusement tout faux, étant finalement empêchés d'entrer au Canada en vertu du règlement sur le voyage continu de 1908, qui leur interdisait l’entrée au pays.

Ce docudrame inventif analyse les politiques d'exclusion qui ont maintenu les passagers indiens du Komagata Maru séquestrés en mer pendant plus de deux mois dans le cadre de cette fameuse confrontation.

Explorant l'immigration et l'injustice, ce film magnifiquement conçu révèle des extraits visuels historiques sous un jour nouveau.

From C to C: Chinese Canadian Stories of Migration

(46 Min)

Magnifiquement filmé au Canada et dans la province chinoise de Guangdong, ce documentaire fascinant fait un parallèle entre les injustices historiques subies par les migrants chinois au cours du siècle dernier et les expériences récentes de jeunes Canadiens d'origine chinoise.

Explorant les politiques d'immigration discriminatoires du passé, le film réfléchit à la signification des préjugés et de l'exclusion pour les personnes qui en ont fait l'expérience et celles qui ne les ont pas subis. En mettant l’accent sur la diversité des identités sino-canadiennes d’aujourd’hui, le film dresse un portrait inclusif et diversifié du Canada en tant que nation.

From C to C a été nominé pour trois Prix Écrans canadiens, dont celui de la meilleure réalisation pour une émission ou une série documentaire.

Invisible City (La Cité Invisible)

(75 Min)

Documentaire percutant qui a pour cadre le projet de logements sociaux du quartier Regent Park à Toronto, La cité invisible suit le difficile parcours de deux amis d’enfance, Kendell et Mikey, qui grandissent dans des foyers monoparentaux d’un quartier défavorisé.

Le réalisateur nommé aux Oscars Hubert Davis suit les deux jeunes garçons pendant trois ans, peignant ce portrait intime sur fond de communauté en transition : les immeubles de logements sociaux de Regent Park vont bientôt être démolis et il n’est pas dit que le redéveloppement est de bon augure pour les résidents.

Les pressions sociales poussent les garçons à faire de mauvais choix, alors que leurs familles cherchent à leur inculquer la volonté de réussir. Davies ne propose pas de solutions simples aux problèmes rencontrés. À la place, il montre la véritable incertitude qui pèse sur les vies de ces jeunes gens et l’impossibilité de prévoir ce qu’il va advenir d’eux.

Maurice Richard

(124 Min)

Le film Maurice Richard porte à l’écran l’ascension fulgurante du légendaire jouer d’hockey Maurice Richard (Dupuis), de ses humbles débuts de mécanicien à Montréal pendant la Grande Dépression jusqu’à son statut de joueur vedette des Canadiens de Montréal et de meilleur compteur de tous les temps.

Mais Maurice Richard est bien plus qu’un simple film sur le sport. Le réalisateur Charles Binamé campe l'histoire dans un contexte culturel : Richard — un homme taciturne — ne trouve sa voie que lorsqu’il commence à dire ce qu’il pense des inégalités et des préjugés à l’égard des Canadiens français.

Nombreux sont ceux qui pensent que les émeutes provoquées par la suspension de Richard en 1955 ont été l'étincelle qui a alimenté la Révolution tranquille au Québec. Cette superproduction sur le hockey est remplie de cœur et d’histoire.

nîpawistamasowin: Nous nous lèverons

(98 Min)

Colten Boushie, un jeune homme Cri de 22 ans, fut tué par un coup de fusil à la tête le 9 août 2016 alors qu’il accédait avec ses amis à une propriété agricole rurale en Saskatchewan. Suite à l’acquittement du fermier caucasien de tous les chefs d’accusations, cette affaire judiciaire a attiré l’attention des médias internationaux et a amené la famille de Colten et sa communauté a essayé de changer le système judiciaire du Canada. 

Profondément bouleversant, ce documentaire, réalisé avec beaucoup de compassion et d’humanité par Tasha Hubbard, noue des liens thématiques entre l’histoire de la famille de la réalisatrice et les relations entre les autochtones et les colonisateurs. Le film offre une vision d’un futur possible où les peuples autochtones seront traités de manière juste et équitable. 

nîpawistamâsowin a remporté le prix du meilleur documentaire canadien et fut le film de la soirée d’ouverture au festival Hot Docs 2019.

Our People Will Be Healed

(97 Min)

Le 50e film de l’éminente documentariste Alanis Obomsawin témoigne de l’enrichissement d’une communauté crie du Manitoba grâce au pouvoir de l’éducation. Les élèves d’une école locale de la nation crie de Norway House discutent de leurs aspirations et du fait qu’ils ont davantage espoir dans l’avenir que les générations précédentes.

Parler des effets du traumatisme intergénérationnel, de l’abus d’alcool et de drogues et des nombreux autres problèmes qui affligent les communautés autochtones permet aux élèves d’entreprendre un processus de guérison collective qui démontre que la communauté puise sa force dans les gens qui en font partie.

Rise: Sacred Water – Standing Rock Part 1

(45 Min)

Dans cette nouvelle série percutante de VICELAND, l’animatrice anishinaabe Sarain Carson-Fox se rend dans des communautés autochtones partout en Amérique pour explorer la vie autochtone à l’ère moderne, levant le voile pour une rare fois sur la ligne de front de la résistance menée par les Autochtones.

Dans ces deux épisodes, les gens de la réserve sioux de Standing Rock dans le Dakota du Sud se battent pour empêcher le Dakota Access Pipeline de traverser leurs terres ancestrales. Ce récit captivant de la protestation et de l’occupation, qui ont finalement mobilisé 10 000 personnes, déborde de leçons d’histoire et de discussions sur la vie dans les réserves. 

Ces épisodes fascinants et émouvants ont été présentés en première au Festival du film de Sundance et ont fait la lumière sur cet enjeu crucial.

Rise: Red Power – Standing Rock Part 2

(44 Min)

Dans cette nouvelle série percutante de VICELAND, l’animatrice anishinaabe Sarain Carson-Fox se rend dans des communautés autochtones partout en Amérique pour explorer la vie autochtone à l’ère moderne, levant le voile pour une rare fois sur la ligne de front de la résistance menée par les Autochtones.

Dans ces deux épisodes, les gens de la réserve sioux de Standing Rock dans le Dakota du Sud se battent pour empêcher le Dakota Access Pipeline de traverser leurs terres ancestrales. Ce récit captivant de la protestation et de l’occupation, qui ont finalement mobilisé 10 000 personnes, déborde de leçons d’histoire et de discussions sur la vie dans les réserves. 

Ces épisodes fascinants et émouvants ont été présentés en première au Festival du film de Sundance et ont fait la lumière sur cet enjeu crucial.

The Skin We’re In

(44 Min)

Exploration urgente des relations interraciales, ce documentaire du réalisateur acclamé Charles Officer suit le journaliste et activiste primé Desmond Cole alors qu’il lève le voile sur le racisme au Canada, invitant tous les Canadiens à comprendre ce que signifie d’être dans sa peau.  

Cole a été récompensé dans le cadre des Prix du magazine canadien pour son article-couverture percutant et incisif sur le fichage et le profilage ethnique publié dans Toronto Life. Dans ce documentaire d’une honnêteté scrupuleuse de Charles Officer, il parcourt l’Amérique du Nord pour savoir ce que signifie réellement d’être Noir au 21e siècle.

Status Quo? The Unfinished Business of Feminism in Canada

(87 Min)

Le féminisme a façonné la société dans laquelle nous vivons. Mais où en est-on aujourd'hui ? Son action demeure-t-elle pertinente ? Ce long métrage documentaire met l?accent sur des questions clés telles que la violence à l'égard des femmes, l'accès à l'avortement et l'accès universel aux services de garde, en faisant le point sur les progrès réellement accomplis dans ces domaines.

Truffé d'archives et d'histoires contemporaines évocatrices, Status Quo ? propose des réponses provocantes et parfois choquantes. Ce documentaire approfondi et confrontant rend hommage aux pionnières du féminisme canadien et soulève d'importantes questions sur la façon dont nous devrions continuer de progresser sur ce plan.

Temps des fêtes

Si vous êtes à la recherche de films sur la saison des fêtes, REEL CANADA a ce qu’il vous faut. Regardez l’un de ces excellents films et amorcez une discussion sur la période des fêtes et ce qu’elle signifie pour chacun d’entre nous.

A Christmas Story (Une histoire de Noël)

(94 Min)

Dans ce classique de Noël, Ralphie est obsédé par l’idée de recevoir le tout nouveau pistolet B.B. Red Rider pour Noël. Il ne reculera devant rien pour convaincre ses parents excentriques de le lui offrir.

The Man Who Invented Christmas (L’Homme qui inventa Noël)

(104 Min)

Après une série d’échecs, Charles Dickens (Dan Stevens de Downton Abbey) s’inspire de sa propre vie pour écrire son récit le plus connu, Un chant de Noël. Avec un échéancier serré et plusieurs doutes sur le succès que peut avoir un conte de Noël, Dickens doit travailler sans cesse et fini par vivre les scènes les plus connues de son conte dans son bureau, afin de mettre plume sur papier et créer l’histoire qui sera aimée par le monde entier.

Mettant en vedette le légendaire Christopher Plummer dans le rôle de Ebenezer Scrooge, Charles Dickens, l'homme qui inventa Noël est un regard fascinant dans les coulisses de la création de ce conte classique et tant aimé, et un portrait charmant d’un des auteurs le plus connu de tous les temps.

« Un film étonnant et rafraichissant au sujet d’une histoire que nous connaissons tous très bien. » – Peter Howell, The Toronto Star